Les bénévoles assurant l’accueil dans la Chapelle trouveront, ici, de la documentation leur permettant d’étayer l’accompagnement des visiteurs.
Les légendes

Décomposition des peintures murales par strates successives

Présentation de la fresque du Jardin des Oliviers par l’œuvre de Nicolas POUSSIN

A quelque chose malheur est bon :
19 janvier 1993 : Mis au sol par la tempête de la nuit, écrasant le bateau de St PRIMEL, les débris du panneau qui habillaient le dessus de l’arche entre la nef et le transept NE révèlent des couleurs sur leur face arrière . Reconstitué, restauré et repositionné dans son emplacement d’origine, dédié à ND du Rosaire comme l’autel qu’il surplombe, ce tableau orne désormais le dessus de l’arcade. Il évoque dans son arrière plan le bataille de Lépante. Traditionnellement le chien, dit de St Dominique, tient une torche allumée dans sa gueule, ici la torche est remplacée par un canon.
Avant cette révélation tempétueuses de la nuit du 18 au 19 janvier 1993 , l’ancien habillage de cette voûte était identique à celui de sa voisine, celle du transept Nord Ouest.
Les anachronismes du tableau du baptême de Jésus :

1 la coquille St Jacques
2 la croix sur la tour
3 au loin, une tour dont l’aspect ferait penser à un minaret
Notez l’évocation de l’arbre de vie par les deux arbres qui s’entrecroisent dans le dos de Jésus.